A Tribune of sociologist Michel Wieviorka on the "rise" of the National Front and its coverage in the media:
"Généralement, les médias amplifient les processus sociaux ou politiques en phase ascendante, et ils en accélèrent la décrue en phase descendante.
Il en est ainsi, aujourd’hui, du Front national dans un contexte où tout indique qu’il monte en puissance – sondages, résultats lors d’élections partielles. Il lui a suffi d’un bon score à Brignoles pour qu’il soit décrété premier parti de France et que l’affolement qui gagne les partis classiques soit répercuté et entretenu par la presse.
Cette dramatisation se comprend d’autant mieux que toute l’Europe, et pas seulement la France, est concernée par la poussée des droites radicales. Mais mieux vaut la nuancer...."
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